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Rééquilibrer le partage de la valeur,

Rééquilibrer le partage de la valeur,

les solutions proposées par la confédération CFE-CGC …

De quoi parle-t-on ? À l’échelle d’une entreprise, la valeur ajoutée peut être définie comme celle qui va permettre de payer les salariés, de rémunérer le capital investi par les actionnaires, d’acheter et d’entretenir le matériel de production, d’acquitter les impôts et taxes, de payer les créanciers. S’arrêter à la simple opposition entre rémunération des salariés et dividendes des actionnaires est réducteur.
 
Quelle est alors la doctrine CFE-CGC sur le sujet ?

La mondialisation a appauvri les classes moyennes des pays occidentaux. C’est pourquoi la CFE-CGC plaide pour un partage de la valeur qui profite à l’ensemble de notre économie, dans l’intérêt de tous. L’équation du partage de la valeur se décline à l’échelle nationale mais aussi en entreprise ou au sein d’une chaîne de valeur.

Pour la CFE-CGC, agir nécessite de partir du bon diagnostic. A cet effet, la CFE-CGC prône pour la création d’un index de la valeur ajoutée indispensable au bon diagnostic partagé au sein de chaque entreprise.

Outre cet index, la CFE-CGC propose :

  • une représentation des salariés à hauteur du tiers des conseils d’administration ou de surveillance afin d’instaurer une vision longue de l’entreprise, la plus apte à garantir à la fois sa pérennité, la rémunération des actionnaires sur la durée et la sécurisation de l’emploi.
  • le développement de l’épargne salariale et de l’actionnariat salarié en assurant l’effectivité des droits de vote des salariés dans les assemblées générales. 
  • une révision de la formule de participation pour qu’elle soit adossée au bénéfice comptable et non plus fiscal. 
  • un pacte de progression salariale qui donne envie aux salariés de s’investir.

Retrouvez l’intégralité de cette communication de la Secrétaire nationale à l’Économie de la CFE-CGC, Raphaëlle Bertholon en cliquant.