Auteur/autrice : frederic.f.buronfosse@airbus.com

auprès des employeurs de la branche pour garantir l’avenir des jeunes.

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Lundi 19 Avril 2021, les Organisations Syndicales Représentatives pour aborder la Participation 2021(au titre des résultats de 2020).

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Aujourd’hui 16 avril a eu lieu la seconde réunion de négociation de la politique salariale pour la période juillet 2021-juin 2022.

Après avoir présenté le contexte commercial et ses projections à court et moyen terme, la Direction a réaffirmé ne jamais s’être inscrite dans une logique de gel des salaires, mais souhaite rester prudente en 2021. Elle propose, sans donner de valeurs :

• une mesure salariale au 1er janvier 2022
• la revalorisation du salaire plancher au 1er juillet 2021
• le lancement immédiat d’une vraie campagne de promotions (incluant mise au salaire mini) pour une application au 1er juillet de cette année

Deux autres réunions sont prévues. Prochain rdv le 5 mai.

La campagne de promotions annoncée était l’une de nos revendications CFE-CGC.
Ces promotions doivent être ambitieuses pour reconnaître les responsabilités exercées par les salariés et les conséquences du plan Odyssey. Le budget d’accompagnement devra être clairement identifié.

Dans le contexte actuel, la CFE-CGC demande une augmentation générale dès 2021 pour préserver le pouvoir d’achat.

le projet de Flex Office du M06 soit présenté aux CSSCT-E.
La direction a répondu à cette demande lors du CSSCT-C extraordinaire le vendredi 9 avril.
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Le 9 avril a eu lieu la première réunion de négociation de la politique salariale 2021. Après avoir rappelé le contexte difficile auquel notre entreprise est confrontée, la Direction a recueilli les attentes des partenaires sociaux. Une seconde réunion est planifiée le vendredi 16 avril.

Après une année blanche, la CFE-CGC a défendu une politique de promotions ambitieuse permettant de reconnaître les responsabilités exercées, tenant particulièrement compte des départs et réorganisations liés au plan Odyssey.

Par ailleurs, la CFE-CGC estime que des marges de manœuvre existent pour une politique de rémunération capable de préserver le pouvoir d’achat des salariés et récompenser l’engagement de tous.